Bonjour ,Je constate que la RTS diffuse via internet certains contenus soit via Play RTS et YouTube.Play RTS est reçu sur tout le territoire suisse sans restriction, mais très limité en international , ou seule la radio Couleur 3 y est disponible et souvent en direct vidéo.Le reste des contenus est systématiquement bloqué.Après la RTS diffuse des contenus sur YouTube comme certains reportages de TP ou du JT, mais souvent orientés sur des sujets très polémiques qui touchent notamment les frontaliers.Il fut un temps ou des chroniques plus divertissantes de la radio et de la TV suisse romandes y était diffusé, comme Superflue de Couleur 3 mais tout ce type de contenu a été supprimé il y a quelques années.Depuis le COVID, la Suisse se referme sur elle-même , car le COVID a démonté ce que lui coutaient l'ouverture des frontières ou leurs fermetures.Durant le COVID, une initiative a permis une reprise de la diffusion des programmes de la TNT, pour un rôle d'unité frontalière aux sens large. La RTS songe à rétablir la FM, car les pertes d'audience est tel que , ça fait reculer les radios privées suisses au passage au seul DAB sans FM, car les pertes d'audiences sont considérables, et ce pour quoi les auditeurs ce sont tournées vers des alternatives étrangères de la radio, ce qui est normal au vu de la large diffusion de nouveaux acteurs radio sur le DAB suisse qui soit basé en France Allemagne et Italie . Et comme c'est les taux d'audiences qui financent les publicités de la TV et la Radio. Le fait que la diffusion s'arrête aux frontières ou par des moyens techniques différente change les publics et les audiences. Donc voir ces changements technologiques totalement politiques au détriment des auditeurs et seulement en fonction de l'argent, de la publicité et des politiques des unes et des autres et au détriment à la cohésion d'un territoire. Que serait Genève sans sont arrière territoire frontaliers pour son agriculture, ou une grande partie du lait , fruit et légume sont produits en France sous des traités qui dates de Napoléon, et du rattachement de Genève à la Suisse . À cette époque-là, il y avait une vision de territoire et de région pour les résidents et habitants de ces territoires, les veilles familles genevoises sont très souvent à cheval au niveau de leurs patrimoines entre Genève et la Haute-Savoie ou l'Ain et vis versa. La diffusion transfrontalière de programmes suisse ou français, voir européenne est une source de richesse culturelle . Ce cloisonnement attise les différences, au lieu de partager un territoire où il fait bon vivre, ou chacun se referme sur soi. J'ai un espoir avec ce politicien genevois et qui a comme métier d’agriculteur et est à cheval entre la Suisse et la France ou il a du s’établir en France en raison des coûts exorbitants du logement, viens de rejoindre les parlementaires à Berne, qui pourrait être une voie quant à la région du Grand Genève , qui est un territoire transfrontalier ou culture , information , économie et même religion sont un toute pour notre région. Je suis convaincu que la diffusion transfrontalière est une source de richesse à tout point de vue . Et le fait de diffuser tout et en tout temps est un signe d’ouverture au moyen de la TNT de la FM et du DAB des programmes Genvoie et Haut-Savoyard .Que la diffusion d’une sélection de reportages qui accentue les clivages de la région et une mauvaise chose.Un peux d'histoire:Annemasse à une Statue de Michel Servet devant sa mairie
Un monument cacher et expiatoire ce trouve aussi à Genève à sa mémoire , qui à été un personnage clef de la région en 1553 , démontre que l’histoire et l’obscurantisme poste COVID ce répète malheureusement trop souvent sur nos territoires .En conclusion La diffusion des radios et télévisions locales comme Léman Bleu , TV8- Mt-Blanc et des programmes de la RTS devrait être diffusés sur un territoire , pour une cohésion du territoire et non de renforcer un clivage se que je le constate ces derniers mois.Vivions en bon voisin, car nous avons besoin des uns et des autres dans ce magnifique territoire transfrontalier .
